[CH] romancier cherche éditeur(-trice)

[Rubrique livre]

« Romancier enjoué, maladroit (sans doute) mais enthousiaste, dynamique et à l’écoute des gens, sympa, prolixe et dont les idées fusent sans avoir le temps de les caser à l’écriture pour 2017. Recherche partenariat avec éditeur ou éditrice sympa et qui possède la tête sur les épaules (pléonasme) et le regard perspicace pour dénicher ce nouveau talent pas encore talentueux !

« Conscient des difficultés matérielles propres aux éditeurs et à la littérature d’aujourd’hui, le romancier accepte toute proposition et l’étudiera avec attention devant un verre ou à travers un des nombreux systèmes de communication de planète Terre, 3e planète du système Sol. Année 2017. »

C’est sous cette prose humoristique de petite annonce que je me vois partir à l’aventure. Réelle cette fois.

Mon tome 1 se retravaille au moins tout ce mois d’août. Lui et moi, nous allons frapper aux portes de quelques éditeurs à la rentrée, ou bien en octobre ? Bien sûr, ce n’est qu’une œuvre, pas un chef d’œuvre. Mais sait-on jamais ! ? Pourtant, une de mes lectrices est passée au travers de mon tapuscrit en une semaine.

Ainsi motivé, j’imagine que j’aurai un lectorat potentiel en prenant soin d’écarter les personnes qui n’aiment pas le fantastique. Il y a une bêta-lectrice, de ce genre personne qui n’a jamais lu un seul livre de fantastique. C’est la même personne qui l’a lu en une semaine. Comme le fantastique est disséminé parcimonieusement, cela pourrait motiver plus d’un lecteur, j’imagine.

L’une des difficultés supplémentaires sera de trouver une ligne éditoriale qui accepterait le fantastique dans le tome 1, puis la science (et spéculative)-fiction dans les autres tomes déjà en cours d’écriture.

À mon grand bonheur, l’auto-édition est aisée de nos jours. À l’opposé, je suis conscient des aléas économiques importants. Mais vous conviendrez du (ré)confort de s’intégrer à une équipe, si petite soit-elle, permet aux auteur(e)s de trouver leur lectorat.

Dites-moi ce qui vous sied : pdf, word, ePub, sortie papier A4 recto, ou bien un autre format ? Aucun problème, Scrivener est puissant et efficace ! Mais nous verrons tout cela en septembre-octobre.

Si déjà le site et l’idée vous inspirent déjà (n’est-ce pas fabuleux ! ! !), madame l’éditrice, monsieur l’éditeur, vous pouvez prendre contact maintenant à cette adresse : .

Je vous souhaite (oui, c’est le monde à l’envers, parfois ça fait du bien !) sincèrement et grandement une prospérité par vos succès tout en prônant un épanouissement certain et merveilleux dans votre passionnante activité.

 

Bienvenu(e) !

Bienvenu(e) dans mon univers !

Depuis Noël 2016,  j’ai écrit plus de 1 000 pages* qui, j’espère, vous feront vibrer avec toutes ces aventures et ces émotions !

Mon prima lectorat (les fameux ß-lecteurs, ou bêta-lecteurs, et plus particulièrement les lectrices) m’ont conforté dans l’idée que je pouvais poursuivre l’écriture. Et pas qu’un peu. Le premier jet du premier roman s’est terminé en un temps record de sept semaines. Il fait tout de même 520 pages*. Pour permettre à un certain lectorat, j’ai scindé le roman en deux périodes : tous les chapitres avant 1979 et tous ceux de 1979. La proportion tombé assez bien : 49 et 51 %.

Certes, j’oublie le ménage, les poubelles et autres poussières durant tout ce temps passé à vous conter tout ce que j’ai vu, vécu, ressenti ou risqué pour vous divertir. Il faut faire des choix dans la vie, n’est-ce pas ?

Où en sont mes aventures pour qu’elles deviennent vôtres ?
(mise à jour juin 2018)

Le tome 2  comporte  480 pages et est en passe d’être scindé en deux (actuellement 230 et 250 p. et avec mon estimation à la louche, ils finiront aux alentours de 350 p. chacun) ! Quant au tome 4 (si ! si !) il a déjà plus de 80 pages d’aventures troublantes… Va-t-on découvrir ma saga dans le désordre : le tome 4 édité avant le 2 & 3 ?

Suite à la montagne de délicates corrections (étoffées, retravaillées, corrigées) et aux inversions de chapitres, De Vies à Trépas, l’immortalité passe par la mort est apparu sur Amazon depuis le 9 mai 2018. J’ai eu l’honneur d’être lu par 14 ß-lectrices, les lecteurs se sont d… pardon, pardon !

Le genre de chacun des tomes

J’ai conscience que je perdrais bien des lecteurs en diversifiant les thèmes abordés dans chacun des tomes. Tant pis.

Mon imagination me dicte, j’écris. Voilà tout.

Comment voulez-vous que j’oriente ma plume ? Devrais-je écrire dans un genre sur commande ? Eh bien, non ! Je ne suis à la solde que de ma plume. Et la destination du résultat vers le partage entre vos mains !

Le tome 1 : du fantastique, proche de la réalité tout de même ! Et aussi n’oublions pas un peu de romantique !

Le tome 2 (trop de matière : il se scinde en deux partie) : une dystopie (vous savez, le genre de 1984 de G. Orwell ou Le meilleur des mondes d’Adouls Huxley ou encore Un bonheur insoutenable d’Ira Levin). Non, n’oublions pas ce romantisme indispensable !

Le tome 4 : nous approchons de la vraie science-fiction. Ce sera plutôt une utopie en marche. N’oublions pas ce romantisme déchirant et à rebondissement unique par le contexte !

Le tome 5 : « Hep ! là ! ‘Scusez-moi, mais la plus proche planète habitable, svp ? » Aucun synopsis n’a été fait. Mais il me semble inévitable, guerre galactique ? clone ? vaisseaux spatiaux… oui, j’ai bien l’impression que le space opera sera présent ! Oublions peut-être le romantisme car trop lointain ou bien verra-t-on un E.T. se marier avec mon héroïne ? Qu’en sais-je… on verra !

Le tome 6 : Eh bien, le vide de l’espace ne m’inspire pas assez… pour l’instant, et il ne sied pas aux histoires d’amour.

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Je vous souhaite de passer d’agréables moments auprès de Guíshen, humble herboriste en quête de… à vous de le découvrir !


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